jeudi 23 mai 2013

Dieu : J'passe la main ! Merde !

Faut se rendre à l'évidence, les aminches, Dieu s'est barré. Il en a eu plein le fion de vos conneries. L'humain, merci bien ! Faut s'le fader ! C'est pas un cadeau ! Son chef-d'œuvre ? Mon cul ! Sa douleur, ouais ! L'idée était belle, mais la réalisation... Mamma mia comme ils disent au Japon !

Donc, selon moi, il a laissé les hommes à Lulu. Il l'appelle comme ça, Lucifer, quand ils sont en privé. J'ai mes sources (eau chaude, eau froide, sur l'évier et un puits pour le pernod) !

Il lui a dit, textuel :

« C'est bon, ça y est, j'en ai ma claque. Ils me cassent les noix, les ovaires et le reste ! » Parce que Dieu est une femme, un homme, plus que ça et moins que ça, également. On ne va pas se lancer sur l'idée d'infinité de Dieu, parce que, sinon, on ne sera pas à l'heure pour becter la soupe. Ah... Thomas... un beurre ! Et pas un beur ! Ça c'est Augustin !

Il/Elle/Ça a poursuivi : « Putain, ça aurait pu être bien pourtant ! Mais c'est comme quand t'imagines une meuf sans chicot qui te taillerait un calumet de l'happé (parce que Dieu parle le San-A dans le texte. Tu voudrais qu'il parle quoi, toi, Dieu, à part Araméen et argomuche?) ! Au début, c'est aguichant, presque plaisant. Mais la gerbe te vient rapidement... » Pendant ce temps-là, Lucifer continuait la tambouille en hochant des cornes. Un couscous, j'crois me souvenir. Épicé à mort ! Tu penses, Satan, le feu, il aime ça !

Pis Dieu a conclu, un peu las : « Moi, les zoziaux, les grands espaces désertiques, les forêts, la beauté terrestre, je garde. Je vais continuer à m'en occuper ici et là. Mais les cons d'humains, c'est finito ! Terminé ! T'en as la charge, mon Lulu. » Tu comprends maintenant ? Pourquoi les dirigeants ? Pourquoi cette merde sans fin ? Cette haine ? Cette connerie érigée en religion, en civilisation, en histoire ?

Donc voilà où qu'on en est. À force de belligérance, de stupre, de stupidité, d'envie et autres joyeusetés, l'Homme se l'est foutu à dos, Dieu, c'est certain. Je ne L'en blâme pas !

Moi, des fois, souvent, je rêve d'un Zeus-enfant qui foutrait tout ça en l'air, comme un château de sable, pour recommencer à zéro. Mettre fin à cette engeance puante, grouillante, destructrice et imbécile ! Peut-être réessayer les dinosaures, nan ? Ou l'avènement des insectes ? Amener des extra-terrestriens bien neufs, pleins d'avenir ? J'sais pas, moi. Quelque chose. Mais quelque chose d'autre ! Lui faire une bonne purge à la belle bleue, avant que ces cons lui fassent encore plus de mal ! Donc faut tout me raser, mec. Génocider l'espèce ! Moi l'premier, siouplé ! M'oubliez surtout pas ! Amen.

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