mardi 30 avril 2013

Frygt og Bæven

Depuis toujours, je suis attiré par Kierkegaard (Enfin, son œuvre, quoi. Moi, les Danois morts, j'les laisse à d'autres). Pendant longtemps, comme un gamin materait son père en train de tirer la bonne. Un mélange d'attirance et de rejet.

D'abord, ce cher Søren dissocie Socrate et Platon. Ce qui, selon moi, est toujours un bon début. Son admiration pour l'ironie socratique, aussi, que je partage. Utiliser la négation semble plus simple, et plus intéressant, qu'essayer de convaincre une tête de pioche que ce qu'il dit est absurde. Faire douter, c'est une arme magnifique (et dangereuse, mais bon...)

Et feindre d'être con, c'est une méthode avérée et très utile. J'imagine que tu commences à en avoir marre de me voir juger, traiter les autres de cons. Tu dois commencer à te dire que le con, c'est moi. Tu dois penser que je ferais bien de me regarder d'un peu plus près. T'as sûrement raison. Con, ignorant, sceptique : penses-moi (si tu oses dépoussiérer ton cerveau) ainsi. J'aime. J'économise tant de salive que j'en bave presque. Contrairement à Descartes, je ne pense pas que le bon sens soit la chose la mieux partagée, mais, suivant ainsi le grand philosophe Frédo Dard-Dard, la connerie. Elle est omniprésente, omnipotente et on (est un con, comme disent les journaleux) ne s'en lasse pas ! Amen.

Sa naissance dans un monde piétiste, également, pour en revenir à Kiki (surnom affectueusement donné par son pasteur, fréquemment dans cette phrase : « Non, Kiki, plus tard. On ne parle pas la bouche pleiiiiiiiine ! »). Non pas pour la doctrine, qui se rapproche d'un travail-famille-patrie du plus mauvais aloi, mais parce que cela m'a conduit au jansénisme. Je trouve ce mouvement très beau et les polémiques lancées sont merveilleusement intéressantes. On y reviendra peut-être.

Enfin, les affects d'angoisse et de désespoir résonnent profondément en moi. Je te conseille d'y jeter un œil, si tu as quelques semaines de libre. Tu n'en sortiras que grandi.

J'ai pas le temps ni l'envie, mais la même chose s'applique à Maître Eckhart et la mystique rhénane. Un je-ne-sais-quoi d'absolu qui me titille les neurones. Pas toi ? Nan ? Bah...

En panne ou bien ?

Putain ! Plus un post depuis des jours ! S'passe quoi ? Pourtant, c'est pas le fiel qui me manque, fieux ! Encore moins les sujets. Y'a qu'à se baisser pour les ramasser, comme d'la merde de chien dans les rues de Paname...

Alors, quoi ? Ben j'sais pas. Peut-être qu'à force d'observer les cons, je commence à être infecté. Enfin... commence... J'dois bien être le con d'un autre. Toujours, t'as un gus qui te prend pour un (pas français selon l'Académie... Quoi ? Non, pas la Star' Ac'. L'Académie Française, ducon). Et je t'invite d'ailleurs à commander ceci de toute urgence, si tu l'as pas déjà. Dès que ton chèque des Assedic est arrivé, quoi. Tu fais c'que tu veux, mais bon. Pour une fois que tu peux avoir accès à l'intelligence... Mais oui, tu peux aller acheter tes bières avant...

Brèfle, comme dit le seul homme heureux que j'ai jamais croisé, c'est comme ça, quoi.

De toute manière, t'as pas grand chose d'autre à branler que de passer voir s'il y a de nouvelles conneries à lire ici, hein ? C'est pas avec ton cerveau que tu vas t'occuper.

Allez. Tcho les lapins. Faisez gaffe à vos cons.



vendredi 26 avril 2013

Conspiration quand tu nous tiens (par les couilles) !

J'avoue, j'aime beaucoup l'idée d'une conspiration mondiale gérée par une élite qui contrôle les esclaves planétaires. Mais laissons ça pour un jour prochain.

Il existe désormais une vraie communauté d'experts (oserais-je dire de pros ?) de la conspiration. Deux exemples récents. La tuerie de Sandy Hook et les bombes au marathon de Boston.

En quelques heures, t'as des dossiers complets, avec photos, démonstrations, etc., te prouvant que c'est l'œuvre du Nouvel Ordre Mondial. T'as des images de personnels des opérations noires de la CIA, des noms, des acteurs qui se retrouvent (prétendument) à la télé en tant que témoins, des infos qui disparaissent. Et plus !

Cette vitesse d'exécution est hallucinante. Surtout que ça se tient à peu près. Je suppose qu'avec le 11 Septembre, puis l'Irak, puis (on va arrêter là, je n'ai pas assez d'encre dans mon clavier)... ils ont eu le temps de se faire les dents. Mais quand même ! C'est à se demander. On croirait le KGB et la CIA du bon vieux temps, quand ils utilisaient la peur pour tout contrôler (Quoi ? C'est encore pareil ? Nan ? Si ? Ah bon !).

Franchement, je n'ai ni le temps, ni les outils et encore moins l'envie de faire des recherches pour voir qui baise qui dans l'histoire. Mais je suis sûr d'un truc : t'as des financements et des équipes qui font ça 24/7. La raison ? Il y en a tant. Clientélisme, envie de faire chier, ennui, maladie mentale, politique...

Quelques pistes vite fait :

- Je verrais bien la NRA, soucieuse de ne pas perdre sa clientèle, qui utilise donc des outils de propagande digne du IIIe (Reich, s'entend). Attends, mon poto, le marché des armes, rien qu'aux États-Unis, tu élimines la faim dans le monde avec les sommes qu'ils amassent en un mois ! Donc ça c'est fait.
À leurs côtés, des politicards qui touchent leur enveloppe régulièrement.

- Sûrement des pays arabes, soutenant le terrorisme ici et là, qui ne doivent pas rater une occasion de mettre un peu d'huile (ou de pétrole) sur le feu.

- La Chine (où j'arrive à pied) bien entendu. Pourquoi gâcher, hein ? Tout ce qui est pris n'est plus à prendre, quoi.

Et d'autres, très certainement. Dès que t'as un cadavre à exploiter, les charognards rappliquent.

En tout cas, si t'as une heure à perdre et que tu parles anglais, va faire un tour sur Google (ou Bing. C'est ton choix mon lapin). C'est distrayant.

mardi 23 avril 2013

David Vincent les a vus !

J'avais promis des aliens, en v'la ! Un documentaire qui m'attise la curiosité (c'est pas français comme phrase, hein ? Quoi ? T'en sais rien ? Bref...) Sirius. J'ai pas maté. Une idée avancée est que l'omerta sur les ETs est d'origine humaine. Personne ne souhaitant révéler qu'il existe une énergie gratuite et infinie, à disposition. Notre bonne vieille civilisation en prendrait un coup. C'est pas gagné. Mais c'est une occas' de dire deux-trois trucs.

Sur la Toile, ils sont partout ces 'Êtres'... Depuis les gardes du corps d'Obama (Quoi ? Tu veux un lien ? Google is your friend, mec ! Marre de te mâcher le boulot) aux ovnis qui patrouillent autour de la station internationale, au-dessus de la lune... Entre les milliers (millions) de personnes affirmant avoir été enlevées et les "fuites" d'anciens militaires ou autres pilotes d'avions de ligne. T'as aussi d'anciens astronautes ricains qui prétendent que. Les gouvernements ici et là possèdent des plans militaires expliquant comment affronter une attaque extra-terrestre. Franchement, ce ne sont pas les histoires qui manquent.

Qu'ils soient là ou non, qu'ils aient créé notre espèce ou non, peu importe. Qu'ils viennent pour nous aider ou non becter, on s'en cague. De toute manière, qu'est-ce que tu veux faire ? C'est comme si un grain de sable essaie de te buter. Il va t'irriter l'œil, au mieux...

En parlant de grain de sable, un exemple parlant que j'aime beaucoup : l'univers contient plus de galaxies (chacune contenant des dizaines, des centaines voire des milliers de milliards d'étoiles, mon poto !), je disais donc que l'univers contient plus de galaxies qu'il y a de grains de sable sur Terre ! Tu mords l'immensité ?

Et c'est ça qui m'intéresse dans toute cette histoire d'ETs. Le coup de pied dans le fion que prennent nos concepts terre-à-terre. La manière dont cette vastitude t'écrabouille l'entendement. Il va falloir se mettre à jour, les gars. Qu'un penseur s'avance et élabore une théorie universelle : à l'échelle de l'univers s'entend. Il faut offrir à nos scientifiques (qui, les cons, utilisent majoritairement lépistémologie kantienne, voire cartésienne ! Franchement ?) de nouvelles frontières, une nouvelle imagination, de nouvelles passerelles pour leurs idées.

Certains scientifiques estiment qu'il y a plus de connexions synaptiques dans un cerveau humain que d'atomes dans l'univers. Il faut commencer à les utiliser, non ? Ou alors on continue comme ça ? Ouais, hein... y'a un bon programme sur TF1 ? J'comprends.

En passant, un bon livre sur les Hopis, qui donnerait presque de l'espoir. Qu'est bien bon si t'as une âme poétique en tout cas.

dimanche 21 avril 2013

Mets ton doigt où j'ai mon doigt

Même de loin, ça commence à être lourd ces manifs à la con, en France. Non pas que je sois pour le mariage pour tous. Ou que je sois contre. Franchement, ça m'en touche une sans faire bouger l'autre comme disait un grand (par la taille) humaniste français, spécialiste (oserais-je dire amoureux ?) de gros asiatiques en slips, suants et ahannants dans la sciure.

S'ils veulent faire ci, ou ça, ou encore autre chose, c'est leur business. En plus (et comme c'est dimanche), qui dit qu'à l'époque (parce que, de nouveau, comme toujours, la religion est prétendument une pierre angulaire de ces cons), le souci entre Jésus et Judas n'était pas d'ordre... disons... un peu plus profond que l'admiration si tu vois c'que j'veux dire... En camarades, quoi !

Jésus, Judas, Pierre, une histoire de jalousie, une histoire de coucherie... N'est-ce pas une idée cocasse ? Ce serait tellement plus amusant (et humain, trop humain) que ce qu'on (est un con) propagande ? Le cul, y'a que ça qui vend, mon poto. Depuis toujours. Et pour les siècles des siècles.

C'était juste une idée insignifiante. Ne vous affolez pas, grenouilles de bénitier ou autres culs bénis. Gardez votre rage intacte. Les arabes sont beaucoup plus hauts que Poitiers ! Que s'annonce la prochaine Jehanne !

Ne perdez pas votre temps ici. Laissez à votre boss (Haïlé Sélassié (Négus, Roi des Rois), Jésus, Yahvé ou autre) le soin de me punir, si punition il doit y avoir. Claquez plutôt un petit navet ou une bise à Marie (pas Madeleine, siouplé ! On va pas commencer sur la prostitution, quoi merde !). Et n'oubliez pas de renflouer le denier du culte. J'ai reçu un mémo : les coûts pour trouver de nouveaux gamins à violer sont à la hausse ! Amen !

vendredi 19 avril 2013

Nicht soll Zarathustra einer Herde Hirt und Hund werden!

Arrêtons tout de suite les frais. Je ne cause pas chleuh. Je ne parle pas ici de ce peuple berbère du sud-ouest marocain (Ah ! Ce bon peuple français, toujours inventif lorsqu'il s'agit de trouver de bonnes petites appellations racistes), mais des teutons, des frisés, des boches, quoi !

Je sais, je sais, c'est un tort. Et il va falloir m'y mettre pour - enfin - lire l'autre, avec sa rythmique et tout et tout. Le Grec, aussi (quoique non sodomite ! Cette petite blague pour te prouver, ami franchouillard, que j'ai été élevé, et bien élevé, dans ce cher pays de notre enfance). Ancien, bien entendu. Parce que le contemporain... hein, tu m'as compris ! Et le latin ! Et l'araméen...

Donc, pour enfin en arriver au sujet, le titre signifie 'Zarathoustra ne doit pas être le berger et le chien d’un troupeau !' Je cause pas fritz, mais je sais utiliser Google, nanmého !

Un brigand, il propose, l'autre. Destructeur et contempteur du bien et du mal aux yeux des bons et des justes. Quel programme ! Tu sais quoi ? J'allais développer, mais en fait non. Mieux vaut partir du début. Sinon, tu vas finir par croix-gammer. Je m'en voudrais de ruiner ta vie en imaginant que tu es capable de ne pas succomber à ce tsunami qu'est Zarathoustra.

Troupeau

Mais revenons à nos moutons (à vous, donc). Après cette digression de bon goût, avouons-le.

Je vais continuer à baser (j'ai presque utilisé schéma narratif, mais je ne peux pas. Primo, ce serait mentir, Levi, je n'ai pas de plan) mes idées (ah oui, au fait, baser pour jeter les bases, quoi) à la va-comme-je-te-pousse (j'ai presque utilisé pisse, mais je t'épargne celle-là).

J'ai parlé de troupeau précédemment. Attention ! On va s'arrêter tout de suite. Je n'en ai absolument rien à foutre de vous. De nouveau, c'est une sorte d'éjaculation mentale ce blog (quand j'aurais perdu du poids, parce que là, la libido est basse). Je n'ai, en aucune façon, envie de convaincre, de prosélyter (il avait raison, le Dard, la langue manque de mot en fait), de partager des opinions, des idées, de débattre ou autre conneries du genre.

Ton avis, je m'en pète. Le tien aussi, toi, là-bas, qui s'est fait instruire, à l'endroit et à l'envers, dans nos chères universités ou écoles ; là où on pense plus haut que son cul et où on écrit avec les reliquats de ces pets cérébraux. Tiens, en passant, je t'invite à lire Evguénie Sokolov, conte parabolique dans le vent.

Donc, je ne serais pas un berger pour ton troupeau. Ici, pas de  salvation. Pas de vérité. Pas de « Oh oui, c'est bon, je signe où pour la prendre un peu plus profond ? » Tu veux appartenir ? Tu veux chorusser (du mot chorus, comme tu l'auras deviner ou non), va voir l'imam de ton quartier (si, si, il y en a un pour sûr, cherche bien). Ou le prêtre si tu es un peu nazillon. Le nouveau pape est fervent de dictatures, non ? Oui ? Peut-être, hein ? Voire ton député ! C'est pareil, tout ça. Ça mange au même ratelier spirituel.

On va créer un nouveau post, mon pote, histoire d'aérer l'atmosphère de ce paragraphe flirtant avec l'eschatologie (et, en effet, ami Garcimore, de la scatologie) !








Sens dessus dessous

Faisons court (très court, sinon, les cendres de ton cerveau vont rougir et je ne voudrais pas être responsable de l'apparition d'un phénix de la connerie si l'air qui passe d'une de tes oreilles à l'autre alimentait la braise), Platon n'est le précurseur de rien du tout. Il n'est certainement pas un maître à penser, mais plutôt un maître à pisser de la copie. Le créateur de l'affiliate marketing en philo, quoi. Au lieu d'inventer, il compile. Au lieu de vivre, il malade (du verbe du premier groupe, malader, altérer les fonctions ou la santé d'un organisme vivant). Il prépare l'avènement de la vioquerie mentale.

Je sais, je suis dur avec Platon. Et je n'ai aucun droit de le critiquer. Je suis à des lieux de l'avoir compris. Mais bon, à notre époque, les cons qui critiquent les maîtres à penser, c'est plutôt commun, non ? Et puis comme il ne peut pas répondre, je l'emmerde. Je le compisse gaiement. Ainsi que ses suiveurs, fans et autres abrutis qui pensent en c/c (Ctrl+C ; Ctrl+V). Je préfère prévenir d'emblée, les lapins. Je suis de mauvaise foi et tout ce bla-bla ne repose sur aucune autre preuve que les étranges circonvolutions de mon cerveau. Donc ça vaut ce que ça vaut, mais pas plus. Pas moins non plus.

Ce que j'ai cependant cru comprendre, c'est que Platon n'est pas pur, mais hybride (au sens grec de l'hubris, Google est ton ami). Ce qui, pour Friedrich Wilhelm (et pour moi aussi, même si tout le monde s'en cague), ne saurait constituer un atout, mais plutôt le début de la fin.

Platon (ou Aristoclès, fils d'Ariston, du dème Kollytos selon Alexandre de Milet) est un penseur en exil. Conspirant contre la civilisation grecque. La logorrhée du concept. Le néocortex roi, prétendant être supérieur au reste du corps, prenant le pouvoir tel un dictateur, incapable de régner autrement puisque si jeune, si faible, perdu dans un univers bien trop complexe pour lui. Du coup, il ment. La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf en somme. Une fontaine dont l'eau est croupie. Un illusionniste commençant (continuant, finissant, choisis ton camp) à tout faisander.

Parce que, comme disait l'autre (désormais, Nietzsche sera l'autre. C'est plus simple pour moi. Son nom est trop allemand à écrire), un peuple en bonne santé ne philosophe pas. Il conquiert. Il vit. Il baise et il mange. Il chante. Il danse. Parce que ce qui est bien, avec la musique, c'est que lorsqu'elle frappe, tu n'as pas mal. Tu commences la philo quand tu es malade, quand il te faut prouver la vie, son sens et le reste. Le grand Pan est mort. La bande au professeur Nimbus est en passe de tuer la poésie. Heureusement qu'il reste la Star Ac' ! Et BHL. Et moi. Sinon, on serait mal.

Passe ton chemin, mon lapin

Tout a déjà été écrit, paraît-il. Mais tu souffriras sûrement qu'un nouveau baltringue noircisse quelques pages virtuelles. De toute façon, personne ne les lira. Et si tu les lis, c'est que tu n'as certainement rien de mieux à branler… Ne commence donc pas à me faire chier avec tes interruptions de mange-merde !

Bon. Les présentations sont faites. Le troupeau commence peut-être, déjà, à se former. Il va me falloir tous vous chasser à coup de pied pour ne pas choper tous vos virus, toutes vos lubies.

C'est un dégueuli cérébral que tu ingurgiteras ici. Tu aimes ou tu jartes. T'es sûrement un veau, de toute manière. Comme tant d'autres. Comme tous ! Comme moi, quand je me regarde de près (ce que j'évite de faire trop souvent, ça me fait loucher le cerveau).

Allez. Assez aparté (du verbe, aparter, que j'invente ici, si maître Dard ne l'a pas déjà fait, parce que je suis un fervent défenseur de faire fumer le fion à la langue et le Frédéric s'est planté dans ma chair et m'a contaminé. Merci.), assez aparté, disais-je (tu vois, un aficionado comme on dit au Japon. NB : le terme n'est correct que si, et seulement si, tu estimes qu'il livrait une corrida scripturale), assez aparté, donc, entrons dans le vif du sujet.

Ça va ? Tu suis ? Sinon, tu peux toujours retourner mater la télé en bouffant des chips, mon pote. Ou aller baiser. Honnêtement, ça me ferait presque plaisir, ça voudrait dire qu'il te reste une once de libre arbitre, ce dont je doute.

Si j'avais été moins con, moins faignasse, un peu plus obsessionnel, j'aurais consacré ma vie à expliquer ce que j'ai entrevu dans La Philosophie à l'époque tragique des Grecs… Bam… Un bon gros pain dans ma p'tite gueule . Illumination. Prends ça mon gamin. Mange ta merde sans sel. Ça fait des millénaires que la vérité est là, bien visible : on est malades, gars. On a perdu la force vitale des civilisations conquérantes et en pleine santé, les gisquettes. Ça craint, non ?

PS : For my English speaking fans (they are, let me check the stats… 0 ! Well, that's a start), I would have been delighted to translate all that crap, but it's just impossible… When I'm wealthy, I'll hire myself on Elance! Ha ha! Whatever. Screw you all, thank you.